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D’Angelo lost his shit over it. Aaliyah’s 3rd favourite track of all time is on it. David Bowie rocked up with it to a TV interview, declaring it “the most exciting sound of contemporary soul music”. In 1996, Lewis Taylor released his self-titled masterpiece. A true modern classic, it’s an album that was years ahead of its time. Forget 25 years ago, it could easily have been made in 2021. An effortless blend of neo-soul, sophisticated pop, smart grooves and laid-back white funk, it enjoyed rapturous reviews from critics and music legends alike. But the album never managed to make an impact and given what was likely a token vinyl release at the time, the original records have long since been near-impossible to find. Lewis Taylor’s Lewis Taylor remains a holy relic for some and criminally unknown to most. Lewis Taylor’s impeccable influences created a dazzling sonic palette: the LP as a whole suggests the visionary brilliance of Prince; the vocal stylings evoke the yearning power of Marvin Gaye; the effortless guitar playing shares the virtuosity of Jimi Hendrix; the haunting tones conjure Tricky; the innovative production and engineering invite comparisons to studio mavericks like Todd Rundgren and Brian Eno; the multi-layered, complex harmonies flash on Pet Sounds-era Brian Wilson; the dark, drama is reminiscent of both Scott Walker and Stevie Wonder; the complex arrangements create textures and moods with the feel of Shuggie Otis on Inspiration Information; the bold experimentation is akin to progressive artists like Faust and Tangerine Dream; the atmosphere is in conversation with Jeff Buckley’s Grace… and we could go on.
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