Ils nous seront utiles pour :
Certains cookies sont nécessaires à des fins techniques, ils sont donc dispensés de consentement. D'autres, non obligatoires, peuvent être utilisés pour la personnalisation des annonces et du contenu, la mesure des annonces et du contenu, la connaissance de l'audience et le développement de produits, les données de géolocalisation précises et l'identification par le balayage de l'appareil, le stockage et/ou l'accès aux informations sur un appareil. Si vous donnez votre consentement, celui-ci sera valable sur l’ensemble des sous-domaines de Syncrophone. Vous disposez de la possibilité de retirer votre consentement à tout moment en cliquant sur le widget en bas à droite de la page. Pour en savoir plus, consulter notre politique de cookie.
Les cookies nécessaires sont utiles au bon fonctionnement du site. Ils permettent de réaliser des fonctions de base comme la navigation de page et l'accès aux zones sécurisées du site web. Le site web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies.
Les cookies de personnalisation permettent à un site web de retenir des informations qui modifient la manière dont le site se comporte ou s’affiche, comme votre langue préférée ou la région dans laquelle vous vous situez.
Les cookies marketing aident les propriétaires du site web, par la collecte et la communication d'informations de manière anonyme, à comprendre comment les visiteurs interagissent avec les sites web.
Les cookies statistiques permettent le suivi des visiteurs sur le site. Ils ont pour but de vous proposer un ciblage publicitaire plus pertinent et donc plus intéressant pour les éditeurs et les annonceurs.
Ce sont les cookies qui n'entrent dans aucune des catégories ci-dessus ou qui n'ont pas encore été classés.
First opus of the new series is La Batterie, by the UK’s Richard Podolor and Sandy Nelson in 1983 in the hypnotic shimmering disco of “Let There Be Drums.” The music of Polodor and Nelson is being given new life by Kalahari Oyster Cult. Alongside the entrancing original are two remixes. First up is Australia via Amsterdam’s very own Max Abysmal with his “Spooky Remix.” Adopting and adapting the raw energy of the ’83 version, Abysmal layers ghostly notes and spectral snares into his mechanical remake. The flip takes on a different slant with “Shotgun” taken from the EP of twenty fives years ago. A super slick work of understated funk shot through with bold keys and powerful chants to show another side of the UK pair. The fiercely talented Benedikt Frey closes, turning his daringly able hand to “Let There Be Drums.” He keeps the vocal line, the rest of his rework is dipped in a thick heart of darkness threat. Pulsing thumps, menacing notes and danger lurk in this jungle of Frey’s own making.
Vous devez activer les cookies pour utiliser le site.
Pour savoir comment activer les cookies sur votre navigateur, rendez vous sur la page suivante:
http://www.accepterlescookies.com/